Marquée dans mon enfance par les comédies musicales américaines des années 50, et ayant pratiqué la danse classique puis le Modern Jazz pendant une vingtaine d’années, j’ai décidé de faire une place à la danse dans ma nouvelle démarche artistique, aux côtés de la peinture numérique et de la musique. Ne pouvant, ni ne voulant séparer ces trois disciplines qui m’habitent. C’est ce qui m’anime, me fait vibrer et vivre tout simplement depuis en fait le jour où je me suis dressée sur mes deux jambes, que j’ai pu me saisir de crayons et pinceaux et découvrir la musique, toutes les musiques. Et il y a deux ans à 59 ans, je me suis décidée enfin à apprendre à jouer d’un instrument, la batterie.
Performance réalisée le 29 novembre 2024 dans les studios de l’Atabal (Biarritz), filmée par Maïwen Le Vourch’, avec la collaboration de Cédric Lepine, batteur et enseignant à la Rock Eskola de l’Atabal, qui m’a préparée à jouer ce titre – loin de mon niveau !- , m’a prêté sa batterie et s’est occupé des arrangements sonores sur place.
Cette performance est une allégorie de mon changement de vie et de période artistique.
J’y interprète la mort de la Geisha, représentée sur les oeuvres de figuration narrative disposées au sol.
Le morceau que j’interprète à la batterie « The Truth Will Always Be » est de Pat Metheny.
Les émotions fortes générées par ce moment vont se traduire par la peinture numérique qui apparaît simultanément sur l’écran du téléviseur, connecté à ma tablette.
Et c’est cela qui m’anime aujourd’hui, voir apparaître ce que mon cerveau, neurones et psychisme, fait de toutes ces émotions, ce que j’appelle donc Art Neuronal.
Sur une interprétation à la batterie du titre « Love&Hate » de Michael Kiwanuka.
La dernière vidéo ci-dessus est sans le son, je danse sur « A Storm on a Summer Day » interprété par Full Crate et Gaidaa. Vous pouvez retrouver un extrait de cette danse avec la musique – dans le respect des droits d’auteur- sur mon compte FB annemarierastel ainsi que sur mon compte Instagram nanou_rastel
